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samedi 27 janvier 2018

Une nouvelle enquête publique sur le projet Europacity






Enterrons le projet Europacity...
sous les avis négatifs !
Grâce au formulaire proposé par le collectif des opposants à Europacity, donnez votre avis en quelques clics et faites entendre votre voix dans l'enquête publique portant sur le projet d’Aménagement de la ZAC du Triangle de Gonesse.




Pour une gestion publique et démocratique de l’eau !







Après la non-adhésion au SEDIF des trois territoires Est Ensemble, Plaine Commune et Grand-Orly-Seine-Bièvre, un pas important a été franchi vers la gestion publique. Une nouvelle pétition lancée par des citoyen.nes, des élu.es, des collectifs et des associations, place l’exigence démocratique au cœur de la seconde phase qui s’ouvre.



La gestion de l’eau confiée la multinationale Veolia par le Syndicat des Eaux d’Île-de-France (SEDIF) coûte cher aux banlieusard.es, 25% de plus qu’à Paris où opère une entreprise publique, Eau de Paris. Et c’est encore plus pour une famille nombreuse ou une personne âgée isolée qui sont pénalisés par une tarification injuste. 
Selon la chambre régionale des comptes, le SEDIF dérape et la rémunération de Veolia explose! Elle aurait dû se maintenir en moyenne à moins de 7 millions d’euros par an, mais elle a dépassé les 20 millions d’euros par an à partir de 2014. Sans compter 7 millions d’euros de frais de siège injustifiés et bien d’autres avantages financiers.
L’eau distribuée par le SEDIF n’est pas de bonne qualité, selon le bilan annuel réalisé par l’Agence régionale de santé. En cause, la pollution par les pesticides. Les traitements industriels les plus sophistiqués (et coûteux) échouent quand les eaux brutes sont trop polluées. C’est en amont qu’il faut agir pour préserver la qualité de l’eau dans l’environnement.
Il faut en finir avec ce système dont Veolia est le seul bénéficiaire. Il faut redonner aux élu.es et aux citoyen.nes toute leur place dans la gestion de l’eau, bien commun s’il en est. C’est l’objet de la pétition ci-dessous.




En voici le texte


La gestion de l'eau confiée la multinationale Veolia par le Syndicat des Eaux d'Île-de-France (SEDIF) coûte cher aux banlieusard.es, 25% de plus qu'à Paris où opère une entreprise publique, Eau de Paris. Et c'est encore plus pour une famille nombreuse ou une personne âgée isolée qui sont pénalisés par une tarification injuste. 
Selon la chambre régionale des comptes, le SEDIF dérape et la rémunération de Veolia explose! Elle aurait dû se maintenir en moyenne à moins de 7 millions d'euros par an, mais elle a dépassé les 20 millions d'euros par an à partir de 2014. Sans compter 7 millions d'euros de frais de siège injustifiés et bien d'autres avantages financiers.
L'eau distribuée par le SEDIF n'est pas de bonne qualité, selon le bilan annuel réalisé par l'Agence régionale de santé. En cause, la pollution par les pesticides. Les traitements industriels les plus sophistiqués (et coûteux) échouent quand les eaux brutes sont trop polluées. C'est en amont qu'il faut agir pour préserver la qualité de l'eau dans l'environnement.
Il faut en finir avec ce système dont Veolia est le seul bénéficiaire. Il faut redonner aux élu.es et aux citoyen.nes toute leur place dans la gestion de l'eau, bien commun s'il en est.
Est Ensemble, Plaine Commune et Grand-Orly-Seine-Bièvre
Pour une gestion publique et démocratique de l’eau !

Suite aux décisions prises par les conseils de territoires d’Est Ensemble, Plaine Commune et Grand-Orly-Seine-Bièvre de ne pas ré-adhérer au Syndicat des Eaux d’Île-de-France (SEDIF), la possibilité est désormais ouverte pour que la gestion de l’eau devienne publique pour plus d’un million d’habitant.es de ces territoires.

Citoyen.nes, élu-es, collectifs, associations,

- nous nous prononçons pour une gestion publique et démocratique de l’eau, bien public qui doit cesser d’enrichir des multinationales telles que Veolia ;

- nous souhaitons que les études nécessaires en vue d’un tel objectif soient menées sans attendre et que les citoyen.nes intéressé.es soient associé.es à leur pilotage ;

- nous nous engageons à organiser et à participer à un large débat public sur les possibilités de passage à une gestion publique de l’eau, qui se conclura par une consultation des citoyen.nes.



Pour en savoir plus : 

Coordination eau Ile-de-France
01 44 67 73 21
135, rue Anatole France
93170 Bagnolet